Il obtient le poste de pathologiste et bactériologiste à l’Hôpital Homéopathique de Londres ; la lecture de « L’Organon » de Samuel Hahnemann – père de l’homéopathie – le conforte dans ses propres découvertes.
Hahnemann, un siècle avant, avait déjà fait le lien entre l’intoxication intestinale et certaines maladies chroniques, mais également compris que chaque patient devait recevoir un traitement personnalisé en tenant compte de son individualité.
Il retravaille ses vaccins et met au point ses 7 nosodes (toujours utilisés de nos jours). En parallèle, il continue ses recherches dans les laboratoires de Nottingham Place, Londres W1.