1928 marque un tournant parce que c’est l’année où il entame ses nouvelles recherches.
Il s’absente parfois de son cabinet et de son laboratoire pour passer une journée à la campagne ou dans les jardins botaniques de Kew et en rapporte des échantillons de plantes qu’il dynamise et teste.
A l’occasion d’un banquet où il s’ennuie, il met à profit son apparente oisiveté pour observer tout ce beau monde qui l’entoure. Il prend alors conscience qu’il existe un nombre défini de personnalités, pousse sa réflexion déjà entamée avec son travail sur les nosodes et en déduit des groupes typologiques.
Écoutant son intuition, il part au Pays de Galles ; il y découvre Impatiens et Mimulus à Crickhowell, (il les prépare comme ses vaccins et les résultats sont immédiats) puis Clematis un peu plus tard.
En 1929, il abandonne le traitement par nosodes pour se consacrer à ses nouvelles recherches.